Solitaire URGO Le Figaro. L’heure des grands préparations

photo © A.COURCOUX solitaire Le Figaro

Le départ de La Solitaire Urgo L Figaro sera donné le 4 juin, à Bordeaux. C’est l’heure des grandes préparations pour les figaristes, avertis comme bizuths.

Les organisateurs ont fait le choix de la monotypie en 1990 et ils ont retenu, comme partenaire, Bénéteau et son « Figaro Solo ». Premier vrai monotype de catégorie A, il n’a aujourd’hui aucun concurrent sur le circuit mondial.A tel pont qu’on arrive bientôt à la troisième génération et qu’il frappe aux portes des Jeux Olympiques.

Véritable condensé de technologie et d’esthétique, puissant et rapide, il aura une nouvelle fois la chance d’affirmer tout son potentiel dans cette 48ème et avant dernière édition du Figaro 2. Pour Bénéteau, ce partenariat est un challenge perpétuellement renouvelé. La sécurité de ses bateaux est une des priorités de la marque et il n’existe pas de meilleure mise à l’épreuve que de voir ses bateaux évoluer entre les mains de professionnels. Grâce à un dialogue constant avec eux et les liens forts qui se sont tissés au fil des années, le retour d’expérience est exploité de multiples façons et profite à l’ensemble des gammes grand public.

Bénéteau est également le créateur du classement Bénéteau des bizuths de la Solitaire. Seuls les participants bizuths (soit ceux qui participent à la Solitaire pour la première fois) peuvent y prétendre.

Dix Bizuths en lice pour le podium Bénéteau au classement général

Ils ont entre 18 et 42 ans, sont skippers mais aussi étudiants, techniciens de contrôle, consultants ou chefs de produit. Ils ont en commun la passion pour la voile mais chacun possède sa propre expérience et des motivations qui lui sont propres.

La Solitaire URGO Le Figaro, c’est un peu le passage obligé pour commencer dans la course au large, la course solo à armes égales. Certains y voient l’aboutissement d’une longue préparation, d’autres au contraire l’abordent comme une première expérience dans le grand bain, le début d’une aventure.

La Solitaire, c’est tout d’abord une course qu’ils souhaitent réaliser pour eux même. Le rapport au sommeil avec 3 nuits en mer, l’enchaînement des manœuvres et toute la stratégie à mettre en place sur la course permet de révéler la performance technique et mentale des futurs grands noms de la voile en compétition.

Mais le rêve est également celui de courir avec l’élite durant 4 étapes, naviguant au contact et cherchant à challenger les meilleurs de cette course où tout peut arriver.

L’objectif de cette nouvelle vague ? Remporter le classement Bénéteau des bizuths.

La solitaire URGO Le Figaro, colonne vertébrale du championnat

Et c’est un championnat qui connaît bien des changements. En effet l’appellation « Championnat de France Elite de Course au large en Solitaire » devient pour 2017 et pour les années suivantes « Championnat de France Elite de Course au Large ». Intégrant et valorisant ainsi la pratique en double sur ce circuit composé de plusieurs compétitions choisies par la FFVoile en concertation avec la Classe Figaro Bénéteau. Soit : La Solo Normandie (coeff1), La Solo Concarneau  (coeff1), La Solo Maître Coq (coeff2), le Tour de Bretagne (coeff1) ainsi que le Douarnenez Fastnet Solo (coeff3) et enfin la Solitaire URGO Le Figaro (coeff 6)

Le champion de France Elite de course au large sera alors le skipper qui aura obtenu le plus petit nombre de points, en totalisant ses scores aux épreuves ci dessus.